Chers amis de TheBedtimestory.online, Aujourd'hui, je veux partager avec vous une courte histoire que j'ai écrite il y a quelques semaines.
C'est une courte histoire d'amour qui se déroule lors d'une course de chevaux : "A la course de chevaux" est le nom de cette histoire. Vous obtenez cette nouvelle ici dans la version internationale et aussi une nouvelle chanson avec le même nom que l'histoire et une petite pièce radiophonique courte.
J'ai eu l'idée que l'histoire se déroulerait vers 1840 ou avant, alors qu'il y avait encore des principautés en Allemagne. Les personnages principaux sont le prince et sa comtesse et le garçon ou cocher.
J'espère que vous apprécierez cette petite histoire et la chanson qui va avec.
Ici le texte :
A la course de chevaux
Nouvelle de Ralf Christoph Kaiser / 22 avril 2021
Vous êtes la comtesse du prince à cheval. Nous sommes à l'hippodrome et vous regardez, avec des chapeaux de soleil, des jumelles et des gants de dentelle blanche. Votre sac à main tombe et moi, le garçon, je le ramasse avec précaution. Plus tard, je prends des confiseries et les apporte sur un plateau en argent avec une tasse de moka. Vous écartez les doigts en soulevant la tasse, en buvant une gorgée et en me souriant. Un regard vaut 1000 mots - tu me donnes un gros pourboire et je te baise la main. Vous acceptez et rejetez ensuite vos cheveux en arrière avec votre main. Vous tirez érotiquement le long d'une mèche de cheveux jusqu'à la pointe, puis vous regardez la piste avec surprise, car les chevaux passent en trombe.
Son mari est fou de gagner et se moque du jockey en lui criant dessus, le bout de papier avec son numéro bien en main. Il a parié 1000 florins sur celui-là et veut gagner. Vous avez l'air un peu ennuyé et redemandez à grignoter la confection. Je suis maladroit et le plateau bascule. Une partie du café se renverse sur l'ourlet de votre robe et vous sursautez en hurlant. Tu veux me frapper, mais j'esquive et je m'enfuis à travers la foule. Personne d'autre n'a remarqué ce qui s'est passé parce que tout le monde regardait les chevaux. C'est aussi un peu poussiéreux et vous quittez le train pour chercher les toilettes.
Nous nous retrouvons derrière la porte d'entrée du comptoir. Personne d'autre n'est là parce que tout le monde se tient dehors sur la piste. Tu sursautes brièvement alors que je m'approche de toi, mais ensuite tu me prends à part et nous nous embrassons sauvagement et orageusement. Je rougis et ma casquette glisse. Alors que des pas résonnent sur le sol, vous courez devant moi comme si de rien n'était et disparaissez dans les toilettes des femmes. J'ajuste ma casquette et disparais acheter un journal du soir pour monsieur. Il m'aboie dessus en tirant sur son cigare et me met 5 florins dans la main. Je fais une petite révérence et vais préparer la voiture pour le départ. Soudain, il y a de grands cris et des cris parce que celui qui gagne la course. Le monsieur insiste pour récupérer lui-même son prix à la caisse. Les billets sont comptés en piles et il les prend calmement et les cache dans une poche intérieure de sa veste. Il est visiblement de bonne humeur et nous partons tous les trois en voiture. Moi dans la cabine et elle et lui à l'arrière avec un siège libre et un toit ouvert. Au passage, le maire nous fait signe et la foule devant la tribune en bois avec rallonge se prépare à se disperser.
Le Herald continue d'appeler son spécial pour la nuit alors que nous partons en trombe. Il y a un peu de poussière alors que les deux chevaux se cabrent et galopent avec nous trois en remorque.
Je me souviendrai toujours de cet après-midi d'un samedi de mai.
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Merci pour votre soutien et dormez bien !
Ralf Christoph Kaiser pour Thebedtimestory.online